La promesse est au bout du chemin…
Cet été 2021 j’ai passé une semaine dans le coin de Grimaud / St Tropez à la découverte de mes clients (de la Tonnellerie, je vous en ai déjà parlé).
J’y ai rencontré Jean-Christophe Comor, du domaine des Terres Promises.
Coup de coeur immédiat.
L’homme sait ce qu’il veut, même s’il se considère toujours comme un apprenti. Nous avons parlé cépages (carignan, cinsault – son préféré), élevages, amphores et terres cuites, villas romaines et désir de revenir au plus près du raisin, du caillou (que Jean-Christophe préfère à la notion de terroir) par des vinifications les plus naturelles, sans interventions.
Tous les vins goûtés sont précis et d’une délicatesse inouïe. Des goûts oubliés, qui paraissent évidents à la première lampée.
Mais il y en a peu.
Malheureusement.
Ou heureusement.
La promesse est à ce prix.
Tous les vins du domaine commencent par la lettre A.
Une évidence, il faut bien commencer par le début. Et au début il y a le A.
Je vous ai sélectionné trois vins, totalement différents, tous mono-cépage.
Trois « natures ».
Trois émotions particulières.
Trois vibrations uniques.
Trois souvenirs à jamais.
Les Terres Promises proposent également une table d’hôtes aux brebis égarées ou aux initiés. Je m’y suis régalé d’un « pâté-croûte » et d’une fricassée de supions. Désaltéré d’un verre d’Analepse (voir plus bas). Un fort joli moment.
Les vinifications se font en cuves et en fûts de chêne d’âges et de tonneliers différents avec séparation des vins de chaque parcelle afin de mettre en avant l’expression du terroir. Mise en bouteilles après 18 mois d’élevage pour une meilleure stabilité des vins.
